Vélo | Loire-Atlantique – De Quimiac à Missillac

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Merci Mamie Danielle et Pépé Yann !

Notre réveil est programmé comme chaque matin à 08h00, et l’enthousiasme est toujours là !

Bien que le temps soit gris, que nuages et vent aient fait leur apparition, notre motivation reste intacte. Nous sommes accueillis par nos hôtes pour un petit-déjeuner avant de reprendre la route. Un moment qui rappelle à Marine ses souvenirs d’enfance vu qu’elle venait chez ses grands-parents tous les étés !

Un café, un nesquik, du pain grillé et son beurre salé, le combo gagnant pour entamer notre nouvelle journée. Après avoir assuré la maintenance informatique, fait quelques ajustements sur les vélos, nous quitterons notre « camp » un peu avant 10h00.

Direction Guérande

Une fois n’est pas coutume, Dany Longo fera un bout de chemin avec nous pour, comme elle le dit si bien, faire son exercice journalier. C’est donc après 4 kms que nos routes se séparent et nous filons tout droit vers la cité médiévale ligérienne : Guérande.

Nous profiterons pour y faire une première pause afin de nous dégourdir les jambes mais surtout les pattes de notre loulou qui n’attend que ça ! C’est toujours sous un temps grisâtre que nous traverserons les remparts de la cité, les vélos y étant autorisés.

Outre le faite que Guérande soit une cité médiévale, elle fait aussi partie du Pays Blanc, nommé ainsi par la présence du sel en abondance : « l’or blanc ».

La Baule-Les-Pins, La Baule-Escoublac ou La Baule-tout-court ?

Notre second stop, se passera donc dans la ville balnéaire la plus connue de Loire-Atlantique. Oui celle qui a trois noms. La Baule-c’que-vous-voulez et sa plage… Elle aussi très connue et d’une longueur de 9 kms. Elle démarre ainsi aux portes du Pouliguen jusqu’au port de Pornichet. Il y a de quoi faire !

C’est l’occcasion pour nous de faire une petite pause café chez Mireille, l’amie du Papa de Marine, même si nous avons fait quelques détours dans les rues de la Baule pour arriver à bon port. Une seconde pause pour N’lou qui ne se fait pas prier pour quitter sa chariote. D’ailleurs, il ne se gêne pas non plus pour faire le tour du propriétaire à son aise !

Les pauses sont de courte durée… L’idée est de ne pas trop se refroidir car après ça pique pour les jambes qui deviennent lourdes en remontant sur les vélos.

C’est un peu plus loin, à Pornichet, que nous ferons la grande pause-déjeuner. Mamie Dany nous à préparé pour l’occasion des sandwiches jambon-emmental. Et ceux-ci sont bien emballés en double-couche : essuie-tout et aluminium ! Pourquoi ? Pour éviter toute condensation lorsque le pain est frais. Certes, peu écologique mais terriblement efficace ! On s’est régalés, merci encore !

C’est en 30 minutes top chrono, que notre déjeuner est englouti après avoir déjà pédalé 26 kms… Puis nous voici déjà prêts à repartir vers Missillac !

Missillac, nous revoilà !

Nous avons encore du pain sur la planche (bien que nous l’ayons avalé au déjeuner). Ce sont 34 kms qui nous attendent pour l’après midi. Nous prendrons donc par les terres au travers du parc régional de la Brière que nous remonterons pour revenir à Missillac. Celui-ci s’étend du Nord au Sud de La Baule jusqu’à Saint-Gildas-des-Bois et d’ouest en est de Mesquer à Savenay.

Nous traverserons donc les villages Saint-André-des-Eaux puis Saint-Lyphard avant d’arriver, enfin, à la maison. Je dis enfin car les ischios-jambiers commencent à siffler en fin de sortie. J’ai beau être habitué aux longs efforts, c’est complètement différent avec un chien et sa chariote !

Nous arriverons finalement vers 15h15, fatigués mais avec encore des ressources suffisantes pour installer notre bivouac. Mais pas d’inquiétude Jean-Pierre, on ne va pas faire de feu de camp dans le jardin pour autant !

Cette fin d’après-midi nous permettra de faire un peu de courses et de nous mettre à jour sur le blog et le tri des photos !

La Réunion à l’honneur

La bonne nourriture est l’un des secrets de notre récupération. Et nos hôtes l’ont bien compris ! Ce soir Mireille nous a concocté un des fameux plat de l’île de La Réunion où elle a vécu il y a quelques années : le Rougail Saucisse ! Une découverte pour Marine qui veut déjà tenter la recette quand nous aurons retrouvé notre chez nous !

Les ventres bien remplis, nous allons cette fois-ci regarder un tout autre genre d’aventure : j’ai nommé Koh Lanta ! Je me prépare psychologiquement car je suis persuadé que Marine a ce genre d’aventure dans le coin de sa tête (#mercididine). J’y comprends rien mais j’essaye quand même de faire le mec intéressé, elle a capté la supercherie je crois !

Nozvezh vat ! Au lit là-dedans… Demain on a encore de la route qui nous attend ! On va faire une virée en Ille-et-Vilaine et dans le Morbihan !